Qui sème la haine récolte la violence
L’agression injustifiable de Marine Le Pen, devant le Café de La Paix, à l’occasion de la grande braderie du centre ville et de la gare, samedi 22 était hélas prévisible.
Elle fait suite aux graves incidents qui ont opposé plusieurs individus au service d’ordre de Marine Le Pen, au soir du 17 juin.
Force est de constater qu’à chaque apparition de Marine Le Pen et de son service d’ordre, le tristement célèbre DPS (Département Protection Sécurité), des incidents éclatent.
La présence dans les rues d’Hénin-Beaumont d’une escouade de gros bras aux mines patibulaires n’aurait-elle pas pour effet d’alimenter la violence ? La question doit être posée.
Ces incidents servent en tout cas le Front National qui fait campagne avec poujadisme et démagogie sur le thème de l’insécurité.
La section communiste d’Hénin-Beaumont condamne avec la plus grande fermeté la tentative d’agression qu’a subie Marine Le Pen. Mais les communistes d’Hénin-Beaumont condamnent également l’utilisation par le FN d’un service d’ordre qui suscite un climat de tension dangereux qui ternit, à chaque apparition de Marine Le Pen, l’image de notre ville.
Elle fait suite aux graves incidents qui ont opposé plusieurs individus au service d’ordre de Marine Le Pen, au soir du 17 juin.
Force est de constater qu’à chaque apparition de Marine Le Pen et de son service d’ordre, le tristement célèbre DPS (Département Protection Sécurité), des incidents éclatent.
La présence dans les rues d’Hénin-Beaumont d’une escouade de gros bras aux mines patibulaires n’aurait-elle pas pour effet d’alimenter la violence ? La question doit être posée.
Ces incidents servent en tout cas le Front National qui fait campagne avec poujadisme et démagogie sur le thème de l’insécurité.
La section communiste d’Hénin-Beaumont condamne avec la plus grande fermeté la tentative d’agression qu’a subie Marine Le Pen. Mais les communistes d’Hénin-Beaumont condamnent également l’utilisation par le FN d’un service d’ordre qui suscite un climat de tension dangereux qui ternit, à chaque apparition de Marine Le Pen, l’image de notre ville.