Le président d’un « groupe majoritaire » constitué des derniers fidèles de Gérard Dalongeville et devenu illégitime aux yeux de la population explique qu’il se classe parmi « ceux qui ont essayé d’éteindre l’incendie au risque de se brûler » par rapport à « ceux qui sont sortis en criant "Au feu" ! ».
Jean-Pierre Chruszez aurait-il été depuis un an un pompier désintéressé seulement soucieux d’éteindre l’incendie ? Visiblement, c’est autre chose qui l’a poussé à trahir le Parti Socialiste et à rompre l’union avec le Parti Communiste en orchestrant avec Gérard Dalongeville un conseil municipal de vengeance contre ceux qui, comme lui, disaient qu’il y a le feu dans la maison commune.
C’est qu’à la différence du président du groupe majoritaire, le PCF ne s’est pas contenté de prétendre éteindre l’incendie, nous avons eu le courage de nommer l’incendiaire.
Quand il y a le feu à la maison, comment ne pas nommer l’incendiaire ? Comment peut-on prétendre éteindre l’incendie en couvrant l’incendiaire, pire, en le cautionnant au nom d’une solidarité… fumeuse !
Pour le Parti Communiste, quand il y a le feu à la maison, il n’y a pas de solidarité avec les incendiaires ! En orchestrant le procès politique de ceux qui s’efforçaient vraiment d’éteindre un incendie qu’il attisait en réalité, Jean-Pierre Chruszez s’est comporté en pompier pyromane.
Malgré ses déclarations d’aujourd’hui dans La Voix du Nord, il aura du mal à échapper à ses responsabilités.
Secrétaire de section
Conseiller municipal