Le numéro 7 du Plan B est sorti !

Notre bimestriel de critique des médias et d'enquêtes sociales préféré a un an et fait le point (page 14).
Avec une diffusion payée de 19 000 exemplaires par numéro, le Plan B a réussi son pari. A la gauche de la gauche et dans le mouvement altermondialiste, le Plan B est devenu une référence !
N'hésitez pas à vous y abonner pour que l'aventure continue !
Ce mois-ci, le Plan B consacre, une fois n'est pas coutume, un article disponible en ligne aux "Grandes Gueules", l'émission phare de RMC.
On peut écouter cette émission en ligne sur le site du parti ultra-libéral "Alternative Libérale". Le président de ce groupuscule madeliniste, Edouard Fillias, n'a pas obtenu les 500 parrainages et appelle à voter François Bayrou... C'est aussi un des piliers des "Grandes Gueules" et comme au café du commerce, il insulte les syndicalistes, les fonctionnaires et les grévistes dès qu'on lui tend un micro.
Le Plan B fait un sort à cette émission et ça fait du bien !
Il faut dire que pas mal de camarades lecteurs du Plan B reprochent au journal de trop cibler des gens de gauche, comme l'économiste Bernard Maris, ou le philosophe Michel Onfray et d'épargner des réactionnaires ultra-libéraux.
Il y a bien d'autres articles à découvrir... L'analyse des modifications apportées par Gérard Larcher au Code du Travail (page 15) est effrayante.
Malheureusement, tant que Ségolène Royal et ses petits camarades du PS continueront de dîner avec les patrons et d'écouter les intellectuels pro-MEDEF (page 4) qui trustent les ondes de France Inter, France Culture, RTL et Europe 1 (page 5), les capitalistes continueront de s'enrichir et les salariés de souffrir comme ceux de cette entreprise sous-traitante d'Airbus (page 12-13).
Tout ça, et bien d'autres choses encore, c'est dans le Plan B, disponible dans tous les kiosques !
Au sommaire du numéro 7 (06/04/2007)
Journalistes politiques : à quoi servent-ils ? (p. 3)
Après le lancement par TF1 d'une émission politique sans journalistes, les petits soldats du Parti de la presse et de l'argent tentent de justifier l'injustifiable : leur existence.
Les intellectuels à l'assaut de l'Élysée (p. 4)
Omniprésents pendant toute la campagne, penseurs à gages et lobbyistes déguisés en experts se sont assurés que les élections ne tourneraient pas à leur désavantage.
Farandole échangiste sur les ondes (p. 5)
Une enquête du Plan B sur les invités des émissions matinales des quatre grandes radios « généralistes » nationales depuis six mois. Une grande leçon de pluralisme.
Après le réalisme soviétique de Staline, le réalisme libéral de France 2 (p. 6-7)
La chaîne sort l'artillerie lourde pour expliquer la nécessité des « réformes » libérales.
Concours de lèche à « Charlie Hebdo » (p. 8)
Philippe Val relaxé dans l'affaire des caricatures danoise, la Raison l'emporte sur les Ténèbres. Cette victoire relance la production de flagorneries en pure brillantine : tous derrière le chef vers l'avenir radieux !
La Carte du Parti de la presse et de l'argent (p. 10-11)
Qui possède quoi dans les médias ? Le Plan B publie une version actualisée de sa célèbre carte du PPA. Un document indispensable pour circuler dans la jungle de la presse sans croiser Lagardère à la tombée de la nuit.
Les peintres d'Airbus ont le mal de l'air (p. 12-13)
Enquête chez Aérotechnique Espace, une entreprise sous-traitante d'Airbus, gangrenée par une épidémie de maladies professionnelles. Mais défense de se plaindre : le donneur d'ordres n'aime pas les salariés douillets.
Qu'avons-nous fait de vos euros ? (p. 14)
Lancé en mars 2006 au milieu des cortèges anti-CPE, Le Plan B fête son premier anniversaire. L'heure de dresser un bilan de notre diffusion et de préparer les triomphes à venir.
Le Code du travail a déjà perdu l'élection (p. 15)
Camouflé par le grand barnum électoral, le gouvernement Villepin a fait passer en douce une ordonnance pour tailler en pièces le Code du travail. Détail des fripouilleries orchestrées par le ministre de l'Emploi Gérard Larcher.
Ségolène Royal souffle les 20 bougies de télé-Bouygues (p. 16-17)
Vingt ans après la privatisation de TF1 préparée par la gauche mitterrandienne et votée par la droite, Ségolène Royal confie aux Inrockuptibles sa volonté de ne pas trop importuner les propriétaires de médias. Démontage de guimauve.
La radio du « bon sens » (p. 18)
« Pourquoi certains médias de merde ne provoquent-ils pas votre opprobre ? », nous interpellait récemment un lecteur. Quelle clairvoyance ! Le Plan B n'avait en effet pas encore analysé l'émission « Les grandes gueules », sur RMC.
Lire (extrait gratuit) : http://www.leplanb.org/page.php?article=57
« Le Blanc pauvre et le Noir pauvre sont dans le même bateau » (p. 19)
Anticapitalisme ou antiracisme ? L'un et l'autre, répondaient les nombreux militants noirs américains qui, dans les années 1960, prônaient la lutte des classes plutôt que l'alliance des Noirs contre les Blancs.
Le procès de Christophe Barbier (p. 20)
Le directeur de L'Express ne tombera pas sans combattre. Découvrez la révélation fracassante qu'il fit en plein tribunal, et quel témoin vint à sa rescousse…
Et plein d'autres pépites à découvrir…
Journalistes politiques : à quoi servent-ils ? (p. 3)
Après le lancement par TF1 d'une émission politique sans journalistes, les petits soldats du Parti de la presse et de l'argent tentent de justifier l'injustifiable : leur existence.
Les intellectuels à l'assaut de l'Élysée (p. 4)
Omniprésents pendant toute la campagne, penseurs à gages et lobbyistes déguisés en experts se sont assurés que les élections ne tourneraient pas à leur désavantage.
Farandole échangiste sur les ondes (p. 5)
Une enquête du Plan B sur les invités des émissions matinales des quatre grandes radios « généralistes » nationales depuis six mois. Une grande leçon de pluralisme.
Après le réalisme soviétique de Staline, le réalisme libéral de France 2 (p. 6-7)
La chaîne sort l'artillerie lourde pour expliquer la nécessité des « réformes » libérales.
Concours de lèche à « Charlie Hebdo » (p. 8)
Philippe Val relaxé dans l'affaire des caricatures danoise, la Raison l'emporte sur les Ténèbres. Cette victoire relance la production de flagorneries en pure brillantine : tous derrière le chef vers l'avenir radieux !
La Carte du Parti de la presse et de l'argent (p. 10-11)
Qui possède quoi dans les médias ? Le Plan B publie une version actualisée de sa célèbre carte du PPA. Un document indispensable pour circuler dans la jungle de la presse sans croiser Lagardère à la tombée de la nuit.
Les peintres d'Airbus ont le mal de l'air (p. 12-13)
Enquête chez Aérotechnique Espace, une entreprise sous-traitante d'Airbus, gangrenée par une épidémie de maladies professionnelles. Mais défense de se plaindre : le donneur d'ordres n'aime pas les salariés douillets.
Qu'avons-nous fait de vos euros ? (p. 14)
Lancé en mars 2006 au milieu des cortèges anti-CPE, Le Plan B fête son premier anniversaire. L'heure de dresser un bilan de notre diffusion et de préparer les triomphes à venir.
Le Code du travail a déjà perdu l'élection (p. 15)
Camouflé par le grand barnum électoral, le gouvernement Villepin a fait passer en douce une ordonnance pour tailler en pièces le Code du travail. Détail des fripouilleries orchestrées par le ministre de l'Emploi Gérard Larcher.
Ségolène Royal souffle les 20 bougies de télé-Bouygues (p. 16-17)
Vingt ans après la privatisation de TF1 préparée par la gauche mitterrandienne et votée par la droite, Ségolène Royal confie aux Inrockuptibles sa volonté de ne pas trop importuner les propriétaires de médias. Démontage de guimauve.
La radio du « bon sens » (p. 18)
« Pourquoi certains médias de merde ne provoquent-ils pas votre opprobre ? », nous interpellait récemment un lecteur. Quelle clairvoyance ! Le Plan B n'avait en effet pas encore analysé l'émission « Les grandes gueules », sur RMC.
Lire (extrait gratuit) : http://www.leplanb.org/page.php?article=57
« Le Blanc pauvre et le Noir pauvre sont dans le même bateau » (p. 19)
Anticapitalisme ou antiracisme ? L'un et l'autre, répondaient les nombreux militants noirs américains qui, dans les années 1960, prônaient la lutte des classes plutôt que l'alliance des Noirs contre les Blancs.
Le procès de Christophe Barbier (p. 20)
Le directeur de L'Express ne tombera pas sans combattre. Découvrez la révélation fracassante qu'il fit en plein tribunal, et quel témoin vint à sa rescousse…
Et plein d'autres pépites à découvrir…