Vous nous prenez pour qui ?
La section d'Hénin-Beaumont du Parti communiste français vous invite à signer la pétition lancée par le Réseau Education Sans Frontières, pour Rachel, Jonathan, Grace, Naomie et leur mère. Vous pouvez signer la pétition en ligne sur le site du Réseau Education Sans Frontières (cliquer sur le lien en bas de l'article), ou la télécharger et l'imprimer. Les signatures sont à envoyer à RESF s/c EDMP 8, impasse Crozatier, 75012 Paris.
Rachel (15 ans) et Jonathan (14 ans), deux des enfants de Barbe Makombo, se cachent depuis le 9 août pour échapper à l’expulsion. La police les recherche activement.
Leur mère, Congolaise, a fui la République Démocratique du Congo où son mari a disparu en 2001, victime de persécutions. Elle-même a été victime de violence sous les yeux de ses enfants. Ayant pu fuir, elle a demandé l’asile en France avec les quatre enfants qui lui restent, (les autres ayant disparu eux aussi). Il lui a été refusé, « faute de preuve » comme dans 85 % des cas actuellement. En attente de son expulsion, elle est assignée à résidence jusqu’à ce que la police retrouve Rachel et Jonathan. Une fois « réunie », la famille sera renvoyée vers l’enfer (3 millions de morts depuis 1998, le viol collectif considéré comme arme de guerre).
Nous ne pouvons pas l’accepter.
Nous avons retrouvé Rachel et Jonathan. Certains d’entre nous les ont aidés, cachés, hébergés, nourris et protégés de la police. Nous sommes prêts à continuer, et à faire de même pour tout enfant se trouvant dans cette situation.
Rachel (15 ans) et Jonathan (14 ans), deux des enfants de Barbe Makombo, se cachent depuis le 9 août pour échapper à l’expulsion. La police les recherche activement.
Leur mère, Congolaise, a fui la République Démocratique du Congo où son mari a disparu en 2001, victime de persécutions. Elle-même a été victime de violence sous les yeux de ses enfants. Ayant pu fuir, elle a demandé l’asile en France avec les quatre enfants qui lui restent, (les autres ayant disparu eux aussi). Il lui a été refusé, « faute de preuve » comme dans 85 % des cas actuellement. En attente de son expulsion, elle est assignée à résidence jusqu’à ce que la police retrouve Rachel et Jonathan. Une fois « réunie », la famille sera renvoyée vers l’enfer (3 millions de morts depuis 1998, le viol collectif considéré comme arme de guerre).
Nous ne pouvons pas l’accepter.
Nous avons retrouvé Rachel et Jonathan. Certains d’entre nous les ont aidés, cachés, hébergés, nourris et protégés de la police. Nous sommes prêts à continuer, et à faire de même pour tout enfant se trouvant dans cette situation.
Le 23 septembre 2005