Réaction du PCF à la remise en liberté de Gérard Dalongeville
Le PCF d'Hénin-Beaumont a pris connaissance des premières déclarations de Gérard Dalongeville, ex-maire d'Hénin-Beaumont mis en examen pour détournement de fonds à la suite de sa remise en liberté à l'issue d'une période de plus de sept mois de détention préventive.
A partir du moment où Gérard Dalongeville ne risquait plus d'entraver l'avancée de l'instruction, sa remise en liberté apparaissait logique.
Nous sommes dans un État de droit et Gérard Dalongeville, comme n'importe quel autre prévenu est présumé innocent jusqu'à ce qu'il soit déclaré coupable, à l'issue d'un procès.
La remise en liberté de Gérard Dalongeville n'absout en rien l'ex-maire d'Hénin-Beaumont et il reviendra à la justice de déterminer quelles ont été ses complicités et jusqu'où s'est étendu le système de fausses factures et de marchés truqués mis au jour par la Brigade Financière.
Avec l'affaire Dalongeville, c'est tout un système notabiliaire et clientéliste, avec ses baronnies locales, ses entreprises, ses marchés truqués qui est apparu en pleine lumière.
La fédération socialiste du Pas-de-Calais, qui a réintégré Gérard Dalongeville après avoir réintégré Jacques Mellick porte une lourde responsabilité dans le désastre politique et financier de la ville d'Hénin-Beaumont.
Quand on est de gauche, il n'est pas possible de soutenir des barons locaux qui trempent dans des magouilles et pratiquent une politique clientéliste révoltante.
Le PCF d'Hénin-Beaumont combattra jusqu'au bout la fausse gauche des barons, des affaires et du clientélisme pour que la gauche renoue avec ses valeurs, celles de Jaurès, celles de 1936 et du Front Populaire, celles de la Résistance et de mai 68.
Notre détermination à combattre le système qui a permis à Dalongeville de prospérer a fait peur aux tenants du système qui ont soutenu aux élections de juin 2009 la liste de Daniel Duquenne avant de réaliser une OPA sur l'Alliance Républicaine par le biais du retour de Georges Bouquillon au MRC 62.
Pendant ce temps, la population héninoise est écrasée d'impôts et souffre beaucoup de voir notre ville ruinée et sans projets, pointée du doigt par les médias.
Le retour fracassant de Gérard Dalongeville a quelque chose d'effarant. L'ex-maire d'Hénin-Beaumont est dans le plus complet déni de réalité lorsqu'il rêve d'un retour aux commandes de la ville.
Aujourd'hui, Gérard Dalongeville n'a plus de légitimité. Les Héninois et Beaumontois ne veulent pas le voir revenir, même si l'amateurisme du préfet dans la procédure de révocation rend possible ce scénario cauchemardesque.
Le PCF d'Hénin-Beaumont appelle l'ex-maire d'Hénin-Beaumont à revenir à la raison, à stopper la spirale de la destruction dans laquelle il veut enfoncer notre ville et à dire enfin la vérité lors de son procès.
A partir du moment où Gérard Dalongeville ne risquait plus d'entraver l'avancée de l'instruction, sa remise en liberté apparaissait logique.
Nous sommes dans un État de droit et Gérard Dalongeville, comme n'importe quel autre prévenu est présumé innocent jusqu'à ce qu'il soit déclaré coupable, à l'issue d'un procès.
La remise en liberté de Gérard Dalongeville n'absout en rien l'ex-maire d'Hénin-Beaumont et il reviendra à la justice de déterminer quelles ont été ses complicités et jusqu'où s'est étendu le système de fausses factures et de marchés truqués mis au jour par la Brigade Financière.
Avec l'affaire Dalongeville, c'est tout un système notabiliaire et clientéliste, avec ses baronnies locales, ses entreprises, ses marchés truqués qui est apparu en pleine lumière.
La fédération socialiste du Pas-de-Calais, qui a réintégré Gérard Dalongeville après avoir réintégré Jacques Mellick porte une lourde responsabilité dans le désastre politique et financier de la ville d'Hénin-Beaumont.
Quand on est de gauche, il n'est pas possible de soutenir des barons locaux qui trempent dans des magouilles et pratiquent une politique clientéliste révoltante.
Le PCF d'Hénin-Beaumont combattra jusqu'au bout la fausse gauche des barons, des affaires et du clientélisme pour que la gauche renoue avec ses valeurs, celles de Jaurès, celles de 1936 et du Front Populaire, celles de la Résistance et de mai 68.
Notre détermination à combattre le système qui a permis à Dalongeville de prospérer a fait peur aux tenants du système qui ont soutenu aux élections de juin 2009 la liste de Daniel Duquenne avant de réaliser une OPA sur l'Alliance Républicaine par le biais du retour de Georges Bouquillon au MRC 62.
Pendant ce temps, la population héninoise est écrasée d'impôts et souffre beaucoup de voir notre ville ruinée et sans projets, pointée du doigt par les médias.
Le retour fracassant de Gérard Dalongeville a quelque chose d'effarant. L'ex-maire d'Hénin-Beaumont est dans le plus complet déni de réalité lorsqu'il rêve d'un retour aux commandes de la ville.
Aujourd'hui, Gérard Dalongeville n'a plus de légitimité. Les Héninois et Beaumontois ne veulent pas le voir revenir, même si l'amateurisme du préfet dans la procédure de révocation rend possible ce scénario cauchemardesque.
Le PCF d'Hénin-Beaumont appelle l'ex-maire d'Hénin-Beaumont à revenir à la raison, à stopper la spirale de la destruction dans laquelle il veut enfoncer notre ville et à dire enfin la vérité lors de son procès.