Face à la crise financière qui décrédibilise de fait le recours aux marchés financiers, le Président de la République continue dans son objectif de privatisation contre toute raison. En promettant de solliciter les seuls capitaux publiques, qui Nicolas Sarkozy croit-il tromper ? Chacun sait qu’une fois le changement de statut effectué, tous les outils juridiques seront en place pour livrer le secteur public préféré des français aux appétits voraces des financiers.
Ce numéro de bonneteau ne trompe personne. Aux cotés des usagers et du personnel, le PCF est déterminer à faire capoter cette nouvelle manœuvre qui n’a qu’un but : mettre fin au service public postal. La Poste doit rester et restera un service public.